Institut Gustave Courbet

Association des amis de Courbet et du Musée

Meilleurs vœux 2020

Pour vous et ceux qui vous sont chers,

nous vous présentons

nos vœux les plus sincères pour cette nouvelle année.

Vous allez recevoir prochainement par courrier et comme à l'accoutumée votre bulletin annuel (n°121).

Je fais comme la lumière

Depuis le 29 novembre 2019, vous pouvez découvrir à la Ferme de Flagey en partenariat avec l'Institut Gustave Courbet l'exposition "Je fais comme la lumière", elle est la présentation des travaux de Daniel Challe, photographe et Jean-Pierre Ferrini, écrivain, fruit de leur périple dans les pas de Gustave Courbet et en son pays.

@Daniel Challe 2018

Gustave Courbet, une histoire intime – Musée de l’échevinage, Saintes

Il ne vous reste plus que quelques jours (jusqu'au 31 octobre 2019) pour découvrir ou redécouvrir l'exposition "Gustave Courbet, une histoire intime" au Musée de l'échevinage à Saintes. L’Institut Gustave Courbet est particulièrement heureux de présenter cette exposition en partenariat avec la Ville de Saintes et l'équipe du Musée de l'échevinage.

Elle est le fruit d’un partenariat fort avec la Ville de Saintes et nous tenons à remercier particulièrement M. Jean-Philippe Machon et toute son équipe pour la remarquable organisation de cet évènement.  Cette manifestation est parrainée et soutenue par M. Dominique Bussereau, Président du Conseil général de Charente. Mme Christine Bouquin, Présidente du Département du Doubs, a apporté également son soutien. L'exposition est labellisée « Bicentenaire Courbet ».

Bonjour Monsieur Courbet

Le musée Fabre présente cet automne une exposition d’un genre nouveau entièrement consacrée à une seule œuvre. A l’occasion du bicentenaire de la naissance de Gustave Courbet, elle explore dans les moindres détails l’un de ses chefs d’œuvre : La Rencontre appelé aussi Bonjour, Monsieur Courbet.

La Rencontre (1854) compte parmi la liste des chefs-d’œuvre qui furent décisifs dans l’histoire de la peinture.
Malgré l’apparente banalité du sujet du tableau, il fit couler beaucoup d’encre. Présentée pour la première fois au grand public au cours de l’Exposition universelle de 1855 et acceptée de justesse, cette œuvre est l’une des plus commentées tant dans les comptes rendus de l’Exposition que dans la presse satirique. À cette occasion, elle gagne le surnom de Bonjour, Monsieur Courbet. Pendant toute la première moitié du XXe siècle, l’œuvre continue de susciter les railleries des critiques qui la trouvent parfois « niaise », « débile », « sotte » ou encore « primitive ».

A l’occasion de cette exposition le musée Fabre présente le bâton d'épine qui avait été reçu en don pour le musée Courbet d'Ornans par Robert Fernier en 1955 et donné en 1976 par les amis de Courbet au département du Doubs. Un article de L'Est républicain daté du 15 novembre 1955 annonce l'acquisition :

Yann Pei Ming / Courbet, Corps à corps

Inauguration de l'exposition / Petit-Palais, Paris

À l’occasion du Bicentenaire de Gustave Courbet (1819-1877), le Petit Palais a le plaisir de présenter Yan Pei-Ming / Courbet, Corps-à-corps, prolongeant ainsi l’exposition organisée cet été au musée Courbet à Ornans. Une dizaine d’œuvres de Courbet, toutes issues des collections du Petit Palais, seront montrées en regard d’une quinzaine de toiles monumentales de Yan Pei-Ming réalisées pour certaines dans l’atelier de Courbet à Ornans. Elles seront présentées cette fois dans un accrochage volontairement inspiré des Salons du XIXe siècle, expérience inédite pour l’artiste.